Togo: BAC 1 à l’ère de Covid-19 réussi

0

L’examen du baccalauréat première partie (BAC 1) a effectivement débuté ce mardi 18 août 2020 sur l’ensemble du territoire togolais. Comme le CEPD, CAP BT technique, le BAC 1 aussi est effective malgré les menaces du Covid 19. Un constat que les ministres Affo Atcha-Dédji de l’enseignement primaire et secondaire et celui de l’enseignement technique Tairou Bagbiegue ont fait en visitant des centres d’écrit à Lomé. En somme, tout a bien débuté dans le respect des mesures barrières.


Ils sont au total 59150 candidats (dont 23 455 filles) de l’enseignement général et 12 200 de l’enseignement technique à prendre part à l’examen. Ils sont repartis dans 14 centres d’écrit y compris celui d’Accra. Que ce soit le lycée de Tokoin, de Bè-Kpota, du 2 février, d’Atiégou oû les ministres ont été, tout se déroule plutôt bien, disent-ils.


« Partout où nous sommes passés, nous avons été agréablement surpris. Toutes les mesures barrières ont été respectées. Nous-mêmes quand est arrivé dans les établissements, on nous a présenté les dispositifs de lave-mains, nous nous sommes lavés les mains avant de rentrer dans les classes. Et quand on est rentré dans toutes les classes que nous avions visitées, la distanciation a été respectée. Tous les élèves ont respecté les consignes. C’est une très bonne chose. Nous nous réjouissons que l’année ait pu être sauvée. On rend grâce au seigneur et qu’avec l’aide et la contribution de tout un chacun, le Togo maîtrisera le coronavirus », a déclaré le ministre Affoh Atcha-Dédji.


De son côté, le ministre Tairou a rendu grâce à Dieu pour tous les examens qui se sont bien dérouler jusque-là.


« Il y a eu d’autres examens qui ont eu lieu. Mais nous rendons grâce à Dieu pour cela. Ça se passe dans de très bonnes conditions d’observation de la distanciation des mesures sanitaires et nous avons trouvé des élèves tranquilles, rassurés dans l’examen qu’ils sont en train de passer. Nous voulons encore une fois remercier le gouvernement pour l’appui qu’il a apporté au système éducatif afin que l’année qu’on supputait ne pas pouvoir se tenir n’a pas été blanche. Nous sommes satisfaits de ce que nous avons vu. L’organisation mise en place et l’encadrement qu’il y a eu un peu partout », a-t-il indiqué.


Il est noté une augmentation du nombre des candidats de 4 250 de plus que celui de 2019 qui était à 54 900 candidats. Après l’épreuve de dessin et de musique d’hier lundi, l’examen proprement dit a débuté ce matin avec les épreuves de Français.

Stanislas A.

LIRE AUSSI UL: Une nouvelle décision de Kokoroko suscite du mécontentement chez les étudiants







Laisser un commentaire

Votre adresse email ne sera pas publiée.