Affaire du jeune tué à Adakpamé : le ministre Yark donne sa version et lance une chasse aux auteurs
Le ministre de la sécurité et de la protection civile, Yark Damehame s’est prononcé sur l’affaire du corps sans vie retrouvé hier matin dans le quartier Adakpamé.
Il est question d’un jeune togolais au nom de Kwatsouatsi Afangbo Dodji, revendeur de téléphone portable au TP3 (port autonome de Lomé) retrouvé mort devant sa maison.
L’examen du corps laisse présumé que le sieur Dodzi a subi des coups de bâton.
Selon les informations recoupées sur les lieux par les autorités, « la victime qui dormait avec son épouse, serait sorti aux environ de 23 heures dans la nuit du 22 au 23 avril pour des besoins à proximités de son domicile. Ayant constaté l’absence prolongée de son époux, la femme a alerté vers 2 heures du matin, les voisins qui malheureusement ne pouvaient entreprendre des recherches du fait du couvre-feu. Ce n’est qu’au lendemain aux environ de 5 heures que le corps inanimé de l’intéressé est découvert devant la maison » relate un communiqué du ministre Yark.
Il s’agit là, in disque le communiqué, « d’un acte crapuleux suffisamment grave qui mérite d’être élucidé ».
Le ministre de la sécurité, de la protection civile présente au nom du gouvernement ses sincères condoléances, à la famille éplorée, il a instruit la gendarmerie nationale de mener une enquête diligente pour retrouver dans les plus brefs délais les auteurs de cette barbarie.
Il rassure la population que toutes les personnes impliquées dans cette barbarie, répondront de leurs actes devant la loi.
Le sieur Dodzi laisse malheureusement derrière lui, une femme et une jeune fille.
Stanislas
