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Des ministres de la sécurité et des représentants des pays de l’espace UEMOA ont observé la 7e réunion ministérielle de l’UEMOA le vendredi 11 novembre à Lomé. Les questions sécuritaires étaient au cœur des échanges. Il était question concrètement pour eux d’évaluer les résultats obtenus dans la mise en œuvre de l’accord-cadre de coopération et de renseignements en matière de sécurité entre les Etats membres.

Ils ont été repoussés aussitôt leur signe sur le sol togolais. Selon les informations, des terroristes venus du Burkina-Faso se sont attaqués dans la nuit du 09 au 10 novembre, au poste avancé des Forces de Défense et de Sécurité (FDS) dans la préfecture de Kpendjal.

En matière de maintien de paix, le Togo est l’un des pays les plus huppés. Des militaires togolais sont constamment déployés sur des terrains de combat, et dans des pays frappés par l’insécurité entre autres le Mali, le Niger. La capacité du pays à assumer cette mission, provient aussi par la bonne formation de ses militaires. Une cinquantaine de militaires ont d’ailleurs reçu hier jeudi 17 décembre leur attestation de formation en maintien de la paix.

Deux cas d’incendies ont été enregistrés la semaine dernière à Lomé et à Dapaong causant des pertes en vie humaines, des blessés ainsi que des dégâts matériels. Quelles sont les causes de ces événements ? Le ministre de la sécurité et de la protection civile Yark Damhame, a dans un communiqué signé ce 1 juin, apporter la réponse en relatant les éléments des enquêtes menées. Lisez plutôt le communiqué.

Trois jours déjà que la population du grand Lomé observe le couvre-feu de 20 h à 06 h du matin. Ce couvre-feu est entre autres, une mesure prise par les autorités dans la droite ligne de la riposte a la pandémie Coronavirus. La plus grande majorité des habitants du grand Lomé respectent cette décision mais l’on observe quelques uns qui n’obéissent pas et circulent en ville aux heures interdites. Ces deniers rencontrent sur leurs chemins, les forces de l’ordre et de sécurité qui n’hesite pas a bastonner les récalcitrants. Par un communiqué, le ministre Yark Damehame de la sécurité recadre tout le monde.

Un passeur clandestin béninois a trouvé la mort ce lundi 23 mars 2020 à Agoègan, à la frontière entre le Togo et le Bénin. Selon un communiqué sorti par le Ministre Yark Damehame de la Sécurité et de la Protection Civile, le passeur a tenté de passer outre les mesures prises par le gouvernement dans le cadre de la riposte nationale au Covid-19 notamment la fermeture des frontières terrestres du pays. Que s’est-il réellement passé ?